Le groupe Yahoo a affiché une progression de son chiffre d'affaires au dernier trimestre 2012, la première depuis 2008. Mais 2013 ne sera pas de tout repos pour autant.
C'est durant l'été 2012 que Marissa Mayer a pris le poste de CEO du groupe Yahoo!, quittant Google et après une valse des CEO de Yahoo qui a perturbé la stratégie globale de l'entreprise. Son rôle est donc de relancer la machine après une longue période d'incertitudes et lui insuffler une nouvelle direction.
Elle a commencé à donner les grandes lignes de ses projets pour redonner du souffle à un groupe qui a perdu du terrain face à Google ou Microsoft, en proposant de s'ancrer plus fermement dans la sphère mobile et de concevoir de nouveaux services Web.
En attendant que ces initiatives se mettent plus précisément en place, les résultats financiers du quatrième trimestre 2012 sont encourageants, avec une progression du chiffre d'affaires de 2%, à 1,346 milliard de dollars, et un bénéfice net de 272 millions de dollars, en recul de 8% par rapport à l'an dernier.
Sans être exceptionnels (notamment au regard des performances de son concurrent Google), le bilan financier de Yahoo! après six mois de présence de la nouvelle CEO a satisfait les attentes des analystes et des investisseurs, permettant au titre de grimper de presque 3% en bourse à l'annonce des résultats.
Il y a pourtant certains motifs d'inquiétudes, notamment par rapport à une vision prudente de l'évolution de l'activité du groupe sur l'année 2013. Il reste également à voir si les pistes proposées par Marissa Mayer tiendront la route.
Sur le versant mobile, Yahoo agrège 200 millions de visiteurs uniques mensuels mais n'en tire pas encore des revenus publicitaires mobiles significatifs, tandis que les revenus de la publicité en ligne traditionnelle se sont contractés de 5% par rapport à l'an dernier.
La publicité générée par son moteur de recherche ( qui utilise la technologie Bing de Microsoft, avec un accord de partage des revenus générés ) a en revanche bien progressé mais il reste encore beaucoup à faire pour attirer toujours plus d'annonceurs et doper les revenus publicitaires.
C'est durant l'été 2012 que Marissa Mayer a pris le poste de CEO du groupe Yahoo!, quittant Google et après une valse des CEO de Yahoo qui a perturbé la stratégie globale de l'entreprise. Son rôle est donc de relancer la machine après une longue période d'incertitudes et lui insuffler une nouvelle direction.
Elle a commencé à donner les grandes lignes de ses projets pour redonner du souffle à un groupe qui a perdu du terrain face à Google ou Microsoft, en proposant de s'ancrer plus fermement dans la sphère mobile et de concevoir de nouveaux services Web.
En attendant que ces initiatives se mettent plus précisément en place, les résultats financiers du quatrième trimestre 2012 sont encourageants, avec une progression du chiffre d'affaires de 2%, à 1,346 milliard de dollars, et un bénéfice net de 272 millions de dollars, en recul de 8% par rapport à l'an dernier.
Sans être exceptionnels (notamment au regard des performances de son concurrent Google), le bilan financier de Yahoo! après six mois de présence de la nouvelle CEO a satisfait les attentes des analystes et des investisseurs, permettant au titre de grimper de presque 3% en bourse à l'annonce des résultats.
Il y a pourtant certains motifs d'inquiétudes, notamment par rapport à une vision prudente de l'évolution de l'activité du groupe sur l'année 2013. Il reste également à voir si les pistes proposées par Marissa Mayer tiendront la route.
Sur le versant mobile, Yahoo agrège 200 millions de visiteurs uniques mensuels mais n'en tire pas encore des revenus publicitaires mobiles significatifs, tandis que les revenus de la publicité en ligne traditionnelle se sont contractés de 5% par rapport à l'an dernier.
La publicité générée par son moteur de recherche ( qui utilise la technologie Bing de Microsoft, avec un accord de partage des revenus générés ) a en revanche bien progressé mais il reste encore beaucoup à faire pour attirer toujours plus d'annonceurs et doper les revenus publicitaires.
Par Nabil Chaibi
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire