Développé par une équipe de l’Université de Surrey en Grande-Bretagne et lancé en orbite le 25 février, STRaND-1 n’est pas un satellite comme les autres.
D’une part, parce que celui-ci se trouve être bien plus petit et léger (4,3 kg) que ses confrères, mais aussi et surtout parce qu’il abrite en réalité un smartphone Android, j’ai nommé le Google Nexus One.
Conçu pour collecter des données concernant entre autres les oscillations magnétiques dans la haute atmosphère, STRaND-1 aura également recours au capteur 5-mégapixels du Nexus pour capturer des clichés de la Terre ainsi que de la Lune afin de déterminer sa position dans l’espace (télémétrie).
Notez que lors de son lancement, celui-ci était contrôlé à l’aide système Linux, mais que c’est à partir de l’OS de Google, Android que les huit propulseurs de l’engin sont commandés.
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