Depuis l’apparition de Tupac en Hologramme, on sait que cette technologie est capable de ressusciter les morts à des fins de divertissement, mais elle peut aussi avoir un intérêt historique.
Les membres de « l’institut des technologies créatives » (ICT) de l’USC, (university of Southern California) en partenariat avec la fondation pour la Shoah de la même université ont commencé à travailler sur un projet destiné à conserver et diffuser les récits des survivants de l’holocauste grâce à des hologrammes.
Le premier récit enregistré est celui de Pinchas Gutter, 80 ans et survivant d’un camp de concentration nazi situé en Pologne. L’homme a été interviewé et filmé en 3D dans un dôme large de près de 8 mètres et éclairé grâce à 6000 LED, le tout sur fond vert. On peut apercevoir le résultat ci-dessous.
Les membres du projet avouent vouloir capturer autant d’histoire(s) que possible, avant que tous les survivants ne disparaissent, et pouvoir ainsi diffuser les témoignages dans les musées et bien sur les facultés.
On note également que la technologie utilisée diverge de celle qui avait réanimé le rappeur. L’image de ce dernier était en fait composée de plusieurs couches d’images en 2D projetées sur un écran quasi invisible. Ici, le rescapé est projeté sur un miroir incurvé, ce qui permet de le voir sous différents angles.
Source
Les membres de « l’institut des technologies créatives » (ICT) de l’USC, (university of Southern California) en partenariat avec la fondation pour la Shoah de la même université ont commencé à travailler sur un projet destiné à conserver et diffuser les récits des survivants de l’holocauste grâce à des hologrammes.
Le premier récit enregistré est celui de Pinchas Gutter, 80 ans et survivant d’un camp de concentration nazi situé en Pologne. L’homme a été interviewé et filmé en 3D dans un dôme large de près de 8 mètres et éclairé grâce à 6000 LED, le tout sur fond vert. On peut apercevoir le résultat ci-dessous.
Les membres du projet avouent vouloir capturer autant d’histoire(s) que possible, avant que tous les survivants ne disparaissent, et pouvoir ainsi diffuser les témoignages dans les musées et bien sur les facultés.
On note également que la technologie utilisée diverge de celle qui avait réanimé le rappeur. L’image de ce dernier était en fait composée de plusieurs couches d’images en 2D projetées sur un écran quasi invisible. Ici, le rescapé est projeté sur un miroir incurvé, ce qui permet de le voir sous différents angles.
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Par Nabil Chaibi
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