Le FuelBand de Nike fait partie de ces bracelets communicants plus spécialement destinés aux sportifs et à tous ceux qui veulent améliorer leur condition physique. Muni d’un podomètre et bardé de capteurs en tout genre, l’objet donne l’heure, et surtout calcule les efforts physiques de son utilisateur qu’il convertit en points Nike Fuel. L’idée est de pousser tout un chacun à se dépasser jour après jour, en cumulant les points.
Seul, ce bracelet a un intérêt somme toute limité. Il ne donne la pleine mesure de son talent qu’en conjonction avec une application iOS, couplée à un site web, qui permettent de synchroniser ses résultats quotidiens pour les comparer avec le reste du monde. Nike avait promis une adaptation de cette application pour Android en mars 2012, pour une sortie programmée l’été dernier. Hélas, rien n’est venu. Et rien ne viendra !
L’équipementier a en effet annoncé qu’il souhaitait concentrer ses efforts de développement pour son site web et l’app iOS, abandonnant sur le bord du chemin le logiciel Android.
C’est une douche froide pour les utilisateurs de terminaux Android qui peuvent se sentir déçus de cette décision. Nike ne donne pas d’explication, mais on peut penser que l’hétérogénéité de la plateforme mobile de Google a eu raison de la volonté du constructeur (à moins que Tim Cook, patron d’Apple et membre du conseil d’administration de Nike, n’ait eu un rôle à jour dans l’affaire, mais ce serait tout de même assez étonnant). Heureusement, la concurrence n’a pas ces pudeurs : FitBit a annoncé durant le dernier CES un Flex Wristband avec une app compatible iOS et Android.
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Seul, ce bracelet a un intérêt somme toute limité. Il ne donne la pleine mesure de son talent qu’en conjonction avec une application iOS, couplée à un site web, qui permettent de synchroniser ses résultats quotidiens pour les comparer avec le reste du monde. Nike avait promis une adaptation de cette application pour Android en mars 2012, pour une sortie programmée l’été dernier. Hélas, rien n’est venu. Et rien ne viendra !
L’équipementier a en effet annoncé qu’il souhaitait concentrer ses efforts de développement pour son site web et l’app iOS, abandonnant sur le bord du chemin le logiciel Android.
«Nous ne travaillons pas sur une version Android de l’application mobile» Nike
C’est une douche froide pour les utilisateurs de terminaux Android qui peuvent se sentir déçus de cette décision. Nike ne donne pas d’explication, mais on peut penser que l’hétérogénéité de la plateforme mobile de Google a eu raison de la volonté du constructeur (à moins que Tim Cook, patron d’Apple et membre du conseil d’administration de Nike, n’ait eu un rôle à jour dans l’affaire, mais ce serait tout de même assez étonnant). Heureusement, la concurrence n’a pas ces pudeurs : FitBit a annoncé durant le dernier CES un Flex Wristband avec une app compatible iOS et Android.
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Par Nabil Chaibi
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