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2/28/2013

Windows Phone Store : 130.000 apps

La boutique d’applications de Windows Phone a franchit un nouveau pallier : son catalogue compte désormais plus de 130.000 logiciels, ce qui un caillou de plus sur le long chemin qui devait aider le système d’exploitation de Microsoft à se positionner comme la troisième plateforme mobile sur le marché.


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Certes, le Windows Phone Store est encore bien loin des deux cadors que sont iOS et Android, qui proposent respectivement 675.000 et 775.000 apps. Mais néanmoins, c’est encourageant pour Microsoft, qui précise que depuis le lancement de Windows Phone 8, les téléchargements ont augmenté de 75% et les revenus de 91%. Le milliard de téléchargements est d’ailleurs depuis longtemps dépassé. En moyenne, chaque utilisateur a téléchargé 55 applications depuis la boutique.


En conséquence, la communauté des développeurs connait elle aussi une belle croissance : durant les 90 premiers jours suivant le lancement de WP8 en octobre 2012, 40.000 développeurs se sont enregistrés, qui ont produit 15.000 nouvelles applications spécifiquement conçues pour tirer parti des possibilités offertes par cette version de l’OS. Le téléchargement du SDK a dépassé les 400.000 exemplaires en moins de quatre mois.


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Par Nabil Chaibi

Stéphane Richard, Orange : Apple est un peu moins arrogante

Les relations d’Apple avec les opérateurs ont toujours été un peu tendues. Même si le constructeur californien ne peut se passer de ses distributeurs, l’énorme succès de l’iPhone a poussé Cupertino à se montrer parfois inflexible sur les conditions de mise en vente de son smartphone, sans compter la subvention sur l’appareil, parmi les plus élevés du marché.


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Cependant, Apple semble avoir mis un peu d’eau dans son vin. Stéphane Richard, le PDG d’Orange, a déclaré devant un parterre de journalistes durant le MWC qu’il est devenu plus facile de négocier avec Cupertino.



« Apple est devenue plus souple, fait plus attention aux autres, et est probablement un petit peu moins arrogante qu’auparavant » Stéphane Richard


En comparant la période durant laquelle Steve Jobs était le CEO d’Apple avec celle actuelle (avec Tim Cook aux manettes), le patron du premier opérateur français a expliqué que le constructeur californien ressentait sans doute « un peu plus de pression », ce dont il se félicite.


En ce qui concerne le marché global de la téléphonie, Stéphane Richard et les autres opérateurs espèrent qu’une troisième plateforme va émerger; et dans son esprit, il pourrait ne pas s’agir de Windows Phone à qui il manque un effet « wow », que Nokia a pour le moment été incapable d’apporter.


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par Nabil Chaibi

2/27/2013

Google : pas de boutiques, finalement

Google vient de refroidir les ardeurs de ses plus fervents partisans, qui avaient déjà commencé à préparer les sacs de couchage et les thermos en vue de l’ouverture des premières boutiques physiques du moteur de recherche.


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Andy Rubin, le big boss aux manettes d’Android, a en effet joué le coup de la douche froide durant une table ronde durant le MWC. Alors qu’on pensait que les Google Store allaient bel et bien sortir de terre d’ici la fin de l’année (une rumeur confirmée par par plusieurs sources), Rubin a affirmé que les consommateurs n’avaient plus besoin d’entrer en boutiques et « sentir » les produits pour prendre une décision. Au lieu de ça, ils font jouer le bouche à oreille et lisent les tests en ligne.


Plus sérieusement (parce que pour l’instant, ce sont des arguments en mousse), Andy Rubin a également indiqué que la division Hardware de Google n’était pas suffisamment mature pour ouvrir son propre réseau de boutiques en dur. Par conséquent, le moteur de recherche n’a rien à annoncer dans ce domaine, ni ne nourrit de projets pour ouvrir ses propres Store. On verra si ce sera toujours le cas au moment du lancement des Google Glass, car c’est typiquement le genre de périphériques qui nécessite d’être testé « en vrai » avant de passer à l’acte d’achat.


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Par Nabil Chaibi

Test Flash : LG Optimus L9

La série « L-Style » LG se compose de quatre téléphones et couvre l’ensemble des gammes avec par ordre croissant les L3, l5, L7 et enfin notre Optimus L9 le flagship. Il s’agit certes du modèle le plus haut de gamme de la série, mais il n’est pas vendu à prix exorbitant, puisqu’il s’arrache pour la somme de 299 euros dans toutes les bonnes crèmeries.


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Le Optimus L9 de LG est un smartphone sous Android 4.0 ICS qui vous propose un écran tactile de 4,7? (540 x 960 pixels), un processeur dual-core TI OMAP 4430 cadencé à 1Ghz avec GPU PowerVR SGX540, 1Go de RAM, 4Go de mémoire interne, un port microSD, un APN de 5 Mégapixels, un tuner FM RDS, une caméra visio VGA, une batterie de 2150mAh, le tout dans 9,1mm d’épaisseur (131,9×68,2×9,1mm pour 125g).


À ce prix, il n’y a pas de véritables miracles. Si extérieurement le téléphone présente plutôt bien, on déchante assez vite une fois en main à cause d’une façade arrière tout en plastique particulièrement fine et flexible. Les petits ergots servant à l’arrimer au téléphone ne renforcent pas particulièrement l’impression solidité, ajoutez à cela des bruits pas très rassurants lorsque l’on enlève la surface et vous avez immédiatement une sensation de téléphone moyennement fini et fragile.


La souplesse des matériaux n'inspire pas la confiance


La souplesse des matériaux n’inspire pas confiance.



Puisque nous y sommes, l’écran ne semble pas non plus particulièrement résistant. Il présente une certaine mollesse sous les ongles et une pression un peu forte ne manquera d’ailleurs pas de faire paniquer les cristaux liquides. Cela prend tout son sens quand on sait que le fabricant a fait l’impasse sur le Gorilla Glass. Bref, l’ensemble est un peu « cheap », dommage.


Pour le reste, le design est on ne plus classique. Une simplicité fort appréciable qui n’est brisée que par deux boutons sensitifs qui s’allumeront au besoin. Au centre trône un bouton Home, physique cette fois. À l’arrière, rien de particulier non plus : on trouve l’appareil photo et le Flash LED.


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On note sur le cache deux encoches servant à laisser passer le son du haut-parleur, situé à l’arrière du téléphone donc. Une fois enlevé, on découvre la batterie de 2150 mAh et l’emplacement pour les Cartes SIM et microSD. Sur le côté on retrouve le triptyque habituel : volume +, volume – et veille/allumage. Deux sorties également, la prise Jack en haut et la prise Micro-USB en bas.


L’affichage se fait sur une dalle IPS de 4,7 pouces avec une définition de 960 x 540 px. Celle-ci est plutôt de bonne facture, les noirs sont profonds, les couleurs vives et les angles de vision corrects. Par ailleurs et en dépit d’une définition un peu faiblarde l’affichage reste fin et agréable, même s’il ne propose qu’une résolution de 234 ppi, là où le Samsung Galaxy S3 en propose 306 par exemple.


Cette taille d’écran s’inscrit dans la tendance actuelle, et il faut donc toujours lui faire le même reproche, l’écran est trop grand pour être confortablement utilisé à une main, et ce malgré sa finesse. Avec ses 131,9 x 68,2 x 9,1 mm il a le mérite d’être presque aussi fin qu’un Galaxy S3 (8,6 mm), mais avec 13 cm de haut, il faudra un pouce anormalement grand pour s’en servir sans contorsion contre nature. Ses 135 grammes font en revanche de lui un téléphone assez léger.


À l’image de la finition, les caractéristiques ne sont pas non plus folichonnes et restent celles d’un téléphone de milieu de gamme et non haut de gamme. L’Optimus L9 est propulsé par un processeur ARM Cortex-A9 fabriqué par Texas Instrument : la OMAP 4430 à deux cœurs et cadencée à 1 GHz, avec un GPU PowerVR SGX540.


Sortie fin mars 2011 et en dépit de son âge donc, la puce fait très bien se qu’on lui demande et le téléphone n’accuse aucune latence que cela soit dans le navigateur ou dans la lecture de films en 1080p. Aucun problème de ce côté. Pas de soucis non plus en jeux, l’affichage est fluide et parfaitement jouable en 3D. Pour les amateurs de chiffres, nous vous glissons les résultats d’Antutu, de Quadrant et d’Epic Citadel.

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Pour ce qui est de l’autonomie avec sa batterie de 2150 mAh le L9 s’en sort bien : on passe le cap type de la journée d’utilisation classique. C’est un bon point.


Mauvais point en revanche pour le stockage, puisqu’il n’embarque que quatre misérables giga-octets de mémoire. Une quantité simplement indigne d’un téléphone à 300 euros qui ne laisse en plus que 2,3 Go au libre usage de l’utilisateur. Il faudra donc impérativement investir dans une carte microSD puisqu’elle n’est pas fournie avec le téléphone.


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Avec un capteur 5 mpx l’Optimus L9 propose une qualité de photo très juste. Comme avec une majorité de capteurs photo de smartphones, les images prises en extérieur et avec de la lumière sont correctes, même si ici on note un léger voile sur les clichés. Mais dès que la luminosité baisse un peu on se retrouve avec un grain particulièrement notable, et ce même dans une pièce assez bien éclairée.


Le rendu est également monotone et les couleurs ne sont pas toujours fidèlement reproduites. Enfin, on note une mise au point assez aléatoire et il faudra d’ailleurs parfois une seconde pour qu’elle se fasse. Le flash LED n’arrange pas les choses, mais c’est un constat que l’on peut faire sur la plupart des téléphones milieu de gamme du marché. Au final, le capteur ne servira guère plus qu’en appoint.


Pour ce qui est de la vidéo, le téléphone les capture en 1080p à 30 images par seconde, rien n’a signaler de ce côté. On note aussi la présence d’un capteur VGA en façade, il sera utile pour la visioconférence.


LG nous propose sur son L9 un Android ICS pur jus ou presque, ce qui n’est pas pour déplaire puisque ICS est déjà très complet. L’absence de Jelly Bean est regrettable, mais LG a tout de même annoncé l’arrivée du dernier OS sur ses derniers téléphones, L9 compris. La surcouche de LG apporte plusieurs améliorations et reste discrète, en tout cas elle ne nous aura pas dérangé plus que ça.


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On notera enfin la présence d’une puce NFC qui ne sert pas à grand chose en l’état actuel. On trouve également quelques applis de partage ainsi que « SmartWorld » permettant de contrôler ses divers appareils de la marque comme son téléviseur ou sa machine à laver.


On l’aura compris tout au long du test, l’Optimus L9 de LG laisse un goût d’inachevé, d’à peu près. À 300 euros il présente toutefois un rapport qualité-prix correct. Le problème est que la concurrence en propose de bien meilleurs. Dans le même ordre de prix, on préférera sans doute un HTC 8S vendu 299 euros également mais sous Windows Phone 8.


Sous Android la meilleure solution dans cette gamme reste le Nexus 4 qui offrira une expérience très largement supérieure pour seulement 50 euros de plus en 16 Go ou le même prix en version 8 Go. Au final cet Optimus L9 est donc très mal positionné.


Par Nabil Chaibi

Angry Birds Toons : le dessin animé à partir du 16 mars

Tous ceux qui n’en ont pas soupé d’Angry Birds seront heureux de savoir que Rovio, éditeur du hit inter-planétaire, va finalement mettre sa menace à exécution : lancer une série animée !


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Cela faisait plus de six mois que Rovio buzzait autour de l’événement, mais nous y voilà enfin : l’univers d’Angry Birds a été adapté en dessin animé, en attendant le film (prévu pour l’été 2016). Le premier épisode des oiseaux en colère sera en ligne sur le site de l’éditeur le 16 mars et histoire de mettre l’eau à la bouche, propose un petit teaser frénétique.


Rovio annonce que la série permettra d’en savoir plus sur les événements se déroulant sur Piggy Island. Les fans en apprendront plus sur leurs héros et leur némésis, à savoir les cochons. Rovio a déjà une solide expérience en matière d’animation, les précédents jeux (notamment la version Star Wars) ayant bénéficié de petits films plutôt bien fichus.


Par Nabil Chaibi

STRaND-1 : un satelite conçu à partir d’un Nexus One

Développé par une équipe de l’Université de Surrey en Grande-Bretagne et lancé en orbite le 25 février, STRaND-1 n’est pas un satellite comme les autres.

D’une part, parce que celui-ci se trouve être bien plus petit et léger (4,3 kg) que ses confrères, mais aussi et surtout parce qu’il abrite en réalité un smartphone Android, j’ai nommé le Google Nexus One.

Conçu pour collecter des données concernant entre autres les oscillations magnétiques dans la haute atmosphère, STRaND-1 aura également recours au capteur 5-mégapixels du Nexus pour capturer des clichés de la Terre ainsi que de la Lune afin de déterminer sa position dans l’espace (télémétrie).

Notez que lors de son lancement, celui-ci était contrôlé à l’aide système Linux, mais que c’est à partir de l’OS de Google, Android que les huit propulseurs de l’engin sont commandés.

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Star Wars : Alfonso Cuaron aux commandes de l’Episode VIII ?

Star Wars nous sert chaque jour de nouvelles rumeurs sur son avenir. Bien entendu, le rachat de Lucasfilm par Disney en est la cause, puisqu’une nouvelle trilogie est sur les rails. Alors que J J Abrams a été confirmé pour diriger l’Episode VII, un autre réalisateur pourrait également tenter l’aventure Star Wars : Alfonso Cuaron.


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C’est le site Marketsaw, qui a toujours été très juste lorsqu’il a évoqué des bruits de couloirs, qui sort l’information. Selon le site, qui a beaucoup de connexion à Hollywood, Cuaron pourrait rejoindre la galaxie pour réaliser un épisode spin off, ou même l’épisode VII, voire IX. Pour ceux qui ne le connaissent pas, Alfonso Cuaron a réalisé le très hypnotique Le Fils de l’Homme et Le Prisonnier d’Azkaban, troisième aventure d’Harry Potter.


Mais Marketsaw ne s’arrête pas là dans les rumeurs. Le site affirme en effet que Simon Pegg pourrait également participer à la saga. Le héros de Shaun of the Dead, Hot Fuzz et Paul joue également Scotty dans le reboot de Star Trek. Et vous le savez, la saga Star Trek est dirigée par J J Abrams, qui pourrait ainsi lui accorder un rôle dans son film. Encore une rumeur sur une saga qui se précise de plus en plus… ou pas.


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Par Nabil Chaibi