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3/04/2013

Un trou géant engloutit un homme dans son lit

Un trou géant engloutit un homme dans son lit


La planète n’est pas un exemple de calme. Quand ce ne sont pas des phénomènes météorologiques violents qui secouent la surface, sous terre, il se passe des choses absolument édifiantes. Un homme en a malheureusement fait les frais récemment, englouti par un trou géant apparu au beau milieu de sa maison.


Nous sommes à Brandon, dans la banlieue de Tampa, en Floride. Dans la nuit de jeudi à vendredi, la victime, âgée de 36 ans, dort paisiblement lorsque soudain, un trou béant surgit sous son lit et l’engloutit soudainement. L’homme a à peine eu le temps de hurler au secours pour alerter la famille qui se trouvait dans la maison et de tenter en vain, de se dégager.


Arrivées sur les lieux, les autorités ne pouvaient rien voir depuis l’extérieur, ce n’est qu’en pénétrant dans la maison qu’elles ont découvert ce trou géant qui pourrait mesurer jusqu’à 30 mètres de diamètre et 15 mètres de profondeur. L’homme est, semble-t-il, mort sur le coup. Le quartier a lui été complètement évacué.


[leparisien]


Par Nabil Chaibi

3/02/2013

Ebooks : Barnes & Noble ne résiste plus face à Amazon

Le libraire Barnes & Noble est en train de lâcher prise face à la pression d'Amazon sur le marché des ebooks et des liseuses.

Le libraire américain Barnes & Noble a tenté de ne pas laisser son concurrent Amazon profiter seul du marché des ebooks en lançant sa propre offre, avec un catalogue et une gamme de liseuses Nook qui a évolué vers les tablettes, de la même façon que la liseuse Kindle d'Amazon s'est agrandie avec les tablettes Kindle Fire / Kindle Fire HD.

Après plusieurs années de lutte féroce, la bataille est en train de tourner à l'avantage d'Amazon. Là où le groupe américain ne cesse de vanter le succès de sa gamme Kindle (sans toutefois fournir de chiffres, qu'il faut trouver de façon indirecte chez les observateurs du marché), Barnes & Noble a été obligé de reconnaître depuis plusieurs trimestres que ses liseuses Nook peinent à se vendre.

Nook Tablet 02 Depuis l'été 2012, il est même régulièrement question d'isoler l'activité de fabrication des liseuses Nook en la cédant ou en la transformant en entité indépendante.

En dehors de la lecture numérique, et même si la tablette Nook repose sur une base Android, le libraire ne dispose de l'écosystème et de l'ensemble des contenus qui accompagnent les produits Kindle et qui constituent la véritable source de revenus pour Amazon et lui permettent de casser les prix des liseuses / tablettes

Pour ses derniers résultats financiers, correspondant à son troisième trimestre fiscal, Barnes & Noble annonce une perte nette de 6,1 millions de dollars, alors que la société affichait un bénéfice de plus de 50 millions de dollars il y a un an.

L'activité Nook correspondant à la vente des liseuses et des ebooks, a sévèrement chuté de 25,9% sur un an, représentant tout de même 316 millions de dollars mais signalant aussi que l'équilibre des forces est rompu.

Ce n'est pas le seul souci du libraire qui voit les revenus de ses boutiques physiques de ventes de livres papier reculer de 2,2%. Le groupe annonce un chiffre d'affaires en recul de 10%, à 2,23 milliards de dollars, en-dessous du consensus des analystes.

Pas sûr que l'alliance signée avec Microsoft en réponse à l'offensive d'Apple début 2012 sur les manuels scolaires numériques suffise à alimenter l'activité ebooks de Barnes & Noble.

Google thésaurise en attendant les bonnes opportunités d'acquisition

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Le directeur financier de Google s'explique sur ce qu'il compte faire des 48 milliards de dollars de cash du groupe : les garder sous la main pour mener des acquisitions utiles au bon moment.


Avec Apple qui se retrouve sous la pression de ses actionnaires pour redistribuer une partie des 137 milliards de dollars de cash dont elle dispose, c'est le directeur financier de Google, Patrick Pichette, qui doit expliquer la stratégie du géant de la recherche vis à vis de son trésor de 48 milliards de dollars.


Et plutôt que de verser des dividendes aux actionnaires, ce dernier estime que leurs intérêts sont mieux défendus en conservant d'importants fonds mobilisables pour des acquisitions stratégiques. L'exemple évident est celui du rachat de Motorola Mobility pour 12,5 milliards de dollars en 2011 qui doit aider Google dans sa stratégie sur les services mobiles et les terminaux, même si les attentes de Google vis à vis du fabricant américain sont restées bien floues depuis l'acquisition.


Comme Apple durant l'ère Steve Jobs ( ce qui a changé avec Tim Cook ), Google ne verse pas de dividendes à ses actionnaires depuis son entrée en bourse en 2004. Le groupe connaît actuellement une belle envolée de son cours qui est désormais autour de 800 dollars et amasse du cash.


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Mais l'exemple du groupe de Cupertino, au firmament en septembre 2012 et retombé à moins de 450 dollars l'action depuis, incite les actionnaires à la prudence et les conduit à demander des retours plus concrets, avec les sommes amassées ne s'évaporent plus vite qu'elles ne sont arrivées.


Hors Motorola Mobility, Google a dépensé 11 milliards de dollars pour racheter plus de 200 (petites, en général) sociétés depuis 2004, intégrant leur savoir-faire dans ses services. Etant donné cette tendance de Google à racheter plutôt des start-up que le groupe fait ensuite fructifier et fusionner dans ses propres offres, on peut comprendre que les actionnaires s'intéressent à ses solides liquidités.


Pour ce qui est de Motorola Mobility, dont la branche mobile n'est toujours revenue à l'équilibre, Patrick Pichette s'est dit confiant dans le retour du fabricant. Comme à son habitude, Google en dit peu sur les orientations qu'il compte donner, entre réorientation vers le haut de gamme et projet X Phone.


Groupon : le fondateur et CEO Andrew Mason débarqué après un bilan mitigé

Ce n'est pas tout à fait une surprise, tant sa position devenait délicate : le fondateur et CEO du site de bonnes affaires Groupon, Andrew Mason, est débarqué par le conseil d'administration.


Groupon fait partie de ces sociétés du Web ayant connu une croissance extrêmement rapide et qui ont tenté l'expérience d'une entrée en bourse en espérant prendre le large vis à vis de la concurrence mais sans forcément disposer d'un modèle économique ferme.


Pour plusieurs d'entre elles, les perspectives de croissance n'ont finalement pas été à la hauteur des espérances, aggravées par les incertitudes économiques mondiales, faisant rapidement plonger leur cours. Et là où ces sociétés pouvaient décider librement de leurs orientations, chaque prise de décision (ou sa rumeur) est désormais scrutée et susceptible d'influencer le cours.


Face à ces nouvelles règles du jeu, la position du dirigeant devient plus fragile, même s'il est le fondateur de la société et les actionnaires peuvent décider de le débarquer si les résultats ne sont pas conformes aux attentes.


Groupon logo 


C'est ce qui arrive à Andrew Mason, CEO et fondateur de Groupon, qui vient d'être écarté par le conseil d'administration après un nouveau bilan financier mitigé qui a fait plonger le cours de la société. Sa position était fragilisée depuis plusieurs mois et l'aggravation du bilan financier a fini de convaincre le conseil qu'il leur fallait un autre dirigeant.


C'est le président et le vice-président du conseil d'administration qui reprendront le rôle de CEO par intérim en attendant de trouver un successeur. La recherche sera confiée à un cabinet externe et le nouveau dirigeant de Groupon ne devrait pas a priori être choisi parmi les membres du conseil, selon Bloomberg.


Si Andrew Mason a su tenir bon la barre pendant un an et demi, malgré les critiques régulières sur sa capacité à gérer une telle société, n'étant pas du sérail des capitaines d'industrie, la prévision d'un chiffre d'affaires autour de 600 millions de dollars pour le premier trimestre, au lieu des 647 millions de dollars du consensus des analystes, a précipité sa chute.


Par Nabil Chaibi

Télécoms : les opérateurs européens veulent moins de régulation et plus de consolidation

Une nouvelle fois, les opérateurs européens demandent un allègement de la régulation télécom et des possibilités de consolidation entre opérateurs d'un même marché mais aussi de pays différents.


Les opérateurs télécom européens veulent que les lignes bougent du côté des régulateurs et des possibilités de consolidation, alors qu'ils se retrouvent en arrière du reste du monde en matière de déploiement des infrastructures.


Alors que des zones comme l'Amérique du Nord ne comptent que quelques opérateurs, ils sont des dizaines en Europe, c'est à dire beaucoup trop pour pouvoir s'organiser et résister correctement. Par ailleurs, ils pointent du doigt les incohérences de régulation du fait de l'existence de régulateurs nationaux dans chaque Etat membre, ce qui conduit à des situations inextricables.


A l'occasion du salon MWC 2013 de Barcelone, les représentants des grands opérateurs ( Vodafone, Deutsche Telekom, Telefonica, France Telecom ) ont rencontré des membres de la Commission européenne pour demander de nouveau des évolutions radicales, rapporte le Wall Street Journal.


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Ils plaident notamment pour la création d'un marché télécom unique avec un régulateur unique et un programme unique d'harmonisation des fréquences. Et pour les opérateurs, cela passe par la possibilité de laisser les opérateurs se racheter entre eux pour consolider le marché.


Or, si la Commission européenne plaide elle-même pour la constitution d'un marché télécom unique, elle est très réticente à l'idée de voir se former des opérateurs télécom géants en Europe, avec tous les problèmes de tentation monopolistique que cela peut induire et qui se feront aux dépens des consommateurs.


Les représentants européens ne sont pas contre des efforts communs, comme la mutualisation de ressources, mais ils refusent toujours l'idée de fusions au sein des marchés. Le problème est toutefois qu'avec une quarantaine de sociétés gérant plus de 100 marques opérateurs en Europe, cela fait beaucoup d'intérêts divergents là où, aux Etats-Unis, AT&T et Verizon contrôlent à eux deux 70% du marché ( et constituent l'équivalent d'un duopole que ne veut précisément pas voir se former la Commission européenne ).


Et l'on se retrouve face au débat, qui existe aussi en France, d'une gestion du secteur télécom trop favorable au consommateur par une surrégulation artificielle contraignante  mais qui n'est pas viable à long terme d'un point de vue économique pour les acteurs du marché.


Cette question de fusion entre opérateurs d'un même marché freine d'ailleurs les ardeurs de rapprochement des opérateurs français, ceux qui ont été durement touchés par l'arrivée de Free Mobile et la baisse des prix des forfaits mobiles cherchant à trouver des appuis ou devenant l'objet de convoitises.


Par Nabil Chaibi

Un ex-employé de Sony accuse Nintendo de lui avoir volé un brevet

La Nintendo 3DS est sortie en mars 2011 et son atout mis en avant est son écran 3D sans lunettes. Mais Seijiro Tomita, un ex-employé de Sony, attaque Nintendo en Justice pour violation de brevet, dans le district de New York. En effet, Big N se serait inspiré de l’invention de Tomita pour créer sa console portable.


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Seijiro Tomita a travaillé chez Sony durant plus de 30 ans et a déposé plus de 70 brevets. Après une longue carrière comme ingénieur, le bonhomme a pris sa retraite en 2002. Un an plus tard, il présente l’un d’entre eux à 7 responsables de Big N : Une technologie permettant d’afficher de la 3D sur un écran, le tout sans lunettes. Seijiro Tomita a pris bien soin de breveter sa trouvaille au Japon, et plus tard aux États-Unis en 2008. Mais en 2011, la 3DS est commercialisée, et la console exploite cette technologie.


Seijiro Tomita accuse donc Nintendo de violation de brevet, la firme ayant travaillé sur la technologie sans son consentement. Devant la justice américaine, il réclame 9,80 dollars par consoles vendues en compensation. Sur 29 millions de machines vendues, cela fait une sacrée somme.


Scott Lindval, l’avocat de Nintendo, indique que la firme ne s’est absolument pas inspirée du brevet de monsieur Tomita, puisqu’elle a travaillé sur sa propre technologie. Un litige que devra régler le juge Jed Rakoff, du district de New York.


Source


Par Nabil Chaibi

MWC : L’écran flexible Willow Glass pas avant trois ans

La société américaine Corning, connue pour son verre ultrarésistant Gorilla Glass a annoncé l’occasion du MWC que son verre flexible, dévoilé à l’occasion du CES et nommé Willow Glass, ne sera pas disponible avant trois ans !


C’est James Clappin, président de Corning, qui a confié cela à Bloomberg qu’il faut compter au moins 3 ans avant que les premiers produits n’arrivent, car la technologie n’est pas encore prête malgré de nombreux développements. Cependant, Corning a confirmé que quelques produits aux usages limités devraient proposer son Willow Glass dans le courant de l’année.


Vivement 2016 alors pour voir ce que les constructeurs nous réservent !


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Source


Par Nabil Chaibi