Toujours aussi inspirée, l’équipe du Groland de Canal+ s’est amusée de ces gens incapables de rester un tant soit peu éloignés de leur smartphone, qui fait pour ainsi dire office de second cerveau.
La nomophobie, soit cette maladie, inspirée de l’expression « no mobile phone phobia » progresse de plus en plus. Etonnante, elle désigne ces personnes en proie à des crises de panique, à du stress, dès lors qu’ils n’ont pas leur mobile sous la main. Groland s’en est inspiré, sans méchanceté aucune, pour l’un de ses sketches.
En fait, l’équipe Grolandaise a voulu mettre l’accent sur l’impossibilité pour certains d’avancer dans la vie sans leur smartphone, en s’appuyant sur un (faux) témoin, ayant prétendument perdu son portable. Triste destinée que celle-ci. Le mot de la fin reviendra à Jules-Edouard Moustic, présentateur de l’émission Groland : « un portable, c’est un peu comme un deuxième cerveau… mais qui aurait vidé de premier. » A méditer.
Par Nabil Chaibi
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