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3/12/2013

Talking Shoe de Google : un concept de chaussure parlante

 Talking-Shoe


Après le projet Google Glass, la Talking Shoe de Google ? Juste un concept... pour faire parler et sans commercialisation prévue.


Un microcontrôleur, un accéléromètre, un gyroscope, un capteur de pression, un module Bluetooth et d'autres technologies fourrés dans une chaussure. C'est la Talking Shoe de Google.


Talking-Shoe


Elle peut délivrer des informations à l'utilisateur qui la porte via une communication avec un smartphone Android pour éventuellement les relayer sur Google+ par le biais d'une application, et jusqu'à les verbaliser grâce à un haut-parleur intégré.


De quoi se faire harceler par ses pompes mais il s'agirait d'une forme de motivation. La chaussure est capable de dire si l'utilisateur est au repos, marche, court, saute... et émet des commentaires parfois sarcastiques en fonction des mouvements.


Pas de commercialisation mais simplement un concept qui sert à mettre en évidence la nouvelle plateforme publicitaire Art, Copy and Code.


Cette expérimentation dans la lignée des objets connectés a tout de même droit à une présence sur l'espace Google Playground que la firme de Mountain View a préparé pour l'édition 2013 du festival SXSW qui se déroule actuellement à Austin aux États-Unis.


Par Nabil Chaibi

Cybersurveillance : les mercenaires occidentaux du numérique

 Eagle


Reporters Sans Frontières dresse une liste de cinq mercenaires de l'ère digitale dont les technologies sont utilisées par des pays autoritaires pour de la cybersurveillance active et intrusive. Des solutions émanant d'entreprises occidentales.


À l'occasion de la Journée mondiale contre la cybercensure, Reporters Sans Frontières publie son traditionnel classement des ennemis de l'Internet. Une nouveauté pour l'édition 2013 est un Top 5 des pays adeptes de cybersurveillance active et intrusive à des visées de contrôle de la diffusion de l'information et " permettant de graves violations de la liberté de l'information et des droits de l'homme ". Figurent dans ce Top la Syrie, la Chine, l'Iran, le Bahreïn et le Vietnam.


RSF-ennemis-internet


Ces pays agissent en se fournissant en technologies auprès de ce que RSF nomme des " mercenaires de l'ère digitale ". Cinq entreprises occidentales sont ainsi pointées du doigt pour la vente à des autorités de technologies qui ont été ou sont utilisées : Gamma ( Royaume-Uni ), Trovicor ( Allemagne ), Hacking Team ( Italie ), Amesys ( France ) et Blue Coat ( États-Unis ).


Amesys est une filiale du groupe Bull. L'année dernière, une information judiciaire a été ouverte à son encontre pour la fourniture en Libye d'une technologie de surveillance informatique utilisée par Mouammar Kadhafi pour espionner les opposants au régime. Une vente opérée en 2007 alors que Amesys a rejoint Bull en 2010.


En cause, le système EAGLE qui a finalement été cédé cette année à une société tierce. RSF explique que ce système se base sur une technologie de Deep Packet Inspection et peut analyser tous les types d'activités liées au Web.


Parmi les sociétés ennemies d'Internet listées par RSF, l'association n'a obtenu un retour que de Hacking Team pour son implication au Maroc. La société italienne commercialise une solution de Remote Control System dénommée DaVinci. Elle est capable de casser du chiffrement et permet à des autorités de surveiller des fichiers et emails chiffrés dont avec PGP, ainsi que Skype et d'autres protocoles de VoIP.



" Nous prenons des précautions pour nous assurer que nos logiciels ne sont pas détournés et, le cas échéant, nous menons des enquêtes. Quoi qu'il en soit, nous ne révélons pas les identités de nos clients ou leur localisation "


, a déclaré Hacking Team.


Pour sa feuille de route numérique, le gouvernement français prévoit une mesure afin de contrôler l'exportation de technologies de surveillance de l'Internet et les soumettre à une autorisation compte tenu de leur double usage lorsqu'elles tombent entre les mains de régimes autoritaires.

3/09/2013

DreamVision S67 : mini-PC Windows pour un usage classique ou embarqué

La marque Pioneer Computers vient de dévoiler son mini-PC DreamVision S67.


Aux dimensions 14,6 x 25 x 4,2 centimètres, celui-ci s’équipe d’un processeur Intel de la génération Sandy Bridge ou de la génération Ivy Bridge et peut abriter jusqu’à 16 Go de mémoire vive répartis sur deux slots DDR3.


Il propose une solution graphique Intel HD 3000 ou Intel HD 4000 – selon la génération de processeur – avec des sorties VGA / DVI, une solution audio haute définition 5.1 Realtek ALC892 et une solution réseau filaire Gigabit Ethernet Intel 82574L.


Celui-ci dispose par ailleurs d’un emplacement 2,5 pouces pour un disque dur ou un SSD et d’un emplacement 5,25 pouces pour un graveur, avec un raccordement en SATA 2 ou SATA 3.


Il dispose enfin de quatre ports USB 3.0, de deux ports USB 2.0, de deux ports PS/2 et d’un port Série.


DreamVision S67 
Le mini-PC DreamVision S67 de Pioneer Computers


Pouvant fonctionner à la maison, mais aussi à bord d’un camion, d’une voiture ou d’un bateau grâce à des accessoires spécifiques, le mini-PC S67 propose Windows XP, Windows 7 ou Windows 8.


Son prix démarre à 899 dollars australiens, l’équivalent de 700 euros.


Par Nabil Chaibi

3/08/2013

League of Legends : Razer dévoile des accessoires PC pour les fans

En partenariat avec l’éditeur de jeux Riot Games, le fabricant Razer va proposer des périphériques PC à l’effigie du célèbre titre multijoueurs League of Legends.


Annoncées à 89,99 et 19,99 euros respectivement sur le marché européen, il s’agit de la souris Naga Hex qui bénéficie d'un marquage spécifique ainsi que d'un rétroéclairage jaune, et du tapis de souris Goliathus qui s’offre quant à lui un nouveau motif.


Rappelons que la souris Naga propose un capteur laser dont la sensibilité peut aller jusqu’à 5 600 dpi et être changée à la volée, et onze boutons programmables par voie logicielle avec sauvegarde dans le Cloud grâce au service Synapse 2.0. Réservée aux droitiers – des dents vont grincer... –, elle adopte un format 11,6 x 7,8 x 4,2 centimètres pour un poids de 134 grammes.


Razer League of Legends 1 
La souris Razer League of Legends


De son côté, le tapis Goliathus bénéficie d’une face antidérapante pour bien rester en place sur le bureau et d’une face optimisée pour des déplacements avec une précision maximale, que ce soit avec un capteur optique ou un capteur laser. Il affiche des dimensions 35,5 x 25,4 x 0,3 centimètre.


Razer League of Legends 2 
Le tapis de souris Razer League of Legends


La disponibilité de ces deux nouveaux périphériques gamer sur nos étals est prévue dans le courant du mois.


Par Nabil Chaibi

Processeurs Intel : fin de carrière pour certains modèles Xeon

Le groupe Intel va mettre fin à la carrière de plusieurs processeurs à destination des stations de travail et serveurs.


Les processeurs concernés par ce retrait du catalogue sont les modèles de la gamme Xeon 3500 Series et ceux de la ligne Xeon 3600 Series. Introduits en 2009, les premiers utilisent la microarchitecture Nehalem 45 nanomètres. Lancés entre début 2010 et début 2011, les seconds sont basés, quant à eux, sur la microarchitecture Westmere 32 nanomètres


Abritant quatre cœurs avec une fréquence variant entre 2,66 et 3,46 GHz, bénéficiant de la technologie Turbo Boost, intégrant une mémoire cache L3 de 8 ou 12 Mo et partageant un TDP de 130 Watts, il s’agit plus précisément des références Xeon W3520, Xeon W3530, Xeon W3540, Xeon W3550, Xeon W3565, Xeon W3570, Xeon W3580, Xeon W3670, Xeon W3680 et Xeon W3690.


Intel Xeon logo


Les commandes de ces processeurs auprès d’Intel seront prises jusqu’à 27 septembre prochain pour des livraisons qui s’étaleront jusqu’au 5 septembre 2014. Interviendra ensuite l’écoulement des stocks auprès des différents partenaires.


Par Nabil Chaibi

ASUS Transformer AIO : moitié PC, moitié tablette , Windows 8 et Android 4.1 au menu.

Asus Transformer AIO


Asus pourrait réconcilier les utilisateurs PC fans de Microsoft, et les mordus de tablettes sous Android avec son nouvel hybride Transformer AiO P1801.


La gamme Transformer n'aura jamais aussi bien porté son nom depuis sa création chez Asus. Le nouveau PC tout-en-un P1801 est à la fois une tablette et un PC. Mais l'hybridation ne se limite pas à apporter une simple interface tactile à Windows 8, ici ce sont deux OS qui se rendent disponibles : Windows 8 et Android 4.1 Jelly Bean.


ASUS Transformer AIO (2) 


Le Transformer P1801 se présente donc comme une énorme tablette posée sur une station PC, équipée d'un clavier et d'une souris en Bluetooth. La station PC rassemble les composants traditionnels d'un ordinateur, à savoir un processeur Core i5-3350P à quatre coeurs, 8Go de RAM DDR-1600, des haut-parleurs embarqués, un lecteur de disque et de cartes SD, ainsi qu'une sortie HDMI.


Mais la tablette dispose également de son propre hardware. Au format 18,4 pouces, elle embarque une plateforme Nvidia Tegra 3 quatre coeurs, 2 Go de RAM DDR3-1600, 32 Go de stockage SSD, un lecteur de cartes SD, un micro, des ports mini USB 2.0 et affiche 5 heures d'autonomie.


Son utilisation se fait au choix : positionné sur sa station de travail, l'utilisateur fait face à un véritable PC tout-en-un sous Windows 8 qui propose un écran tactile. Mais il suffit d'appuyer sur un bouton situé sur le coté de l'écran pour basculer automatiquement sur le mode tablette et voir s'afficher un environnement Android Jelly Bean 4.1.


Il est alors possible de retirer la tablette de son support et de l'utiliser comme n'importe quel appareil mobile.


La situation est idéale pour qui hésite encore à investir dans un PC ou une tablette, d'autant que ce sont bien deux systèmes distincts, avec chacun leurs propres avantages qui sont proposés. L'Asus Transformer AIO est proposé aux alentours de 1300$.

Vector PCIe : le nouveau SSD d'OCZ sort les biceps au CeBIT !

Dans le cadre du salon CeBIT, qui se tient en ce moment à Hanovre, le constructeur OCZ a décidé d’en mettre plein la vue.


Le fabricant californien y présente en effet son nouveau dispositif de stockage SSD nommé Vector PCIe. Basé sur deux contrôleurs mémoire Indilinx Barefoot 3 et prenant place dans une fente PCI-Express 4x, celui-ci se décline en trois capacités 240 Go, 480 Go et 960 Go. En termes de performances, il annonce jusqu'à 1 000 Mo/s en séquentiel et jusqu'à 140 000 IOPS en aléatoire 4k. Bref, ça décoiffe.


OCZ Vector PCIe 1 
Le SSD OCZ Vector PCIe


OCZ a d'ailleurs fait une petite démonstration pour montrer les performances de son joujou. Placée dans une configuration de test et faisant l’objet de mesures avec l’outil AS SSD Benchmark, la référence 960 Go a ainsi affiché des pointes à près de 930 Mo/s en lecture et plus de 880 Mo/s en écriture


OCZ Vector PCIe 2 
Une capture des tests


Rien n’a été communiqué en revanche concernant la tarification de ce SSD qui sera destiné au marché professionnel.


Par Nabil Chaibi