Les entreprises et les applications mobiles : la problématique de la distribution. Par Nabil Chaibi

Beaucoup de DSI commencent à s’intéresser aux enjeux et possibilités offertes par la mobilité. Se pose rapidement le problème lié à la distribution des applications. En effet, l’App Store d’Apple ou le Play Store d’Android ne visent que le client final et ne laissent pas de place aux intermédiaires.

De plus, avec la prédominance du BYOD (« bring your own device ») dans les entreprises françaises, gérer une multitude d’appareils différents est devenu un véritable casse-tête pour les entreprises.




En juillet 2012, Apple sortait dans la plus grande discrétion son « App Store Volume purchasing for business ». Disponible uniquement aux États-Unis, ce programme permet aux entreprises d’acheter des applications en grandes quantités afin de les distribuer à ses collaborateurs via des codes promo. Une interface de back-office permet de distribuer ces fameux codes (notamment par mail) et de suivre l’utilisation de l’application (installée/désinstallée, version utilisée…).

Il est aussi possible d’intégrer dans ce Store orienté « business to business » des applications développées par des tiers et non publiées sur l’App Store classique. À noter que ce point est déjà possible avec l’acquisition d’une licence entreprise (facturée 299$/an).

Néanmoins, si Apple commence à prendre quelques initiatives, iOS ne capte qu’à peine un tiers du marché français. Avec la prédominance du BYOD, comment manager une flotte d’appareils complètement hétéroclite ?

Certaines sociétés tierces ont sorti des solutions de distribution pour les entreprises. En voici un bref tour d’horizon :

La solution « EASE », développée par l’entreprise américaine APPERIAN et distribuée par la société française Seeds Sofware. Cette solution est pensée comme un Cloud et permet le téléchargement des applications par les collaborateurs sur trois systèmes d’exploitation différents : iOS, Androïd ainsi que les applications en HTML5. La solution est livrée avec des outils d’analyse qui permettent d’apprécier les outils mis en oeuvre.

Le Studio Appccelerator, à l’origine du désormais célèbre IDE cross-platform Titanium, est l’un des premiers clients d’APPERIAN.?

AppCentral est une société américaine dont la solution se rapproche de celle d’APPERIAN. Les outils d’analyse fournis avec la licence sont complets que ceux de EASE, mais la solution permet de distribuer des applications sur le BlackBerry OS. Si RIM (la société derrière les mobiles BlackBerry) perd du terrain sur le marché du business to consumer, de nombreux grands groupes équipent leurs commerciaux en mobiles BlackBerry.

Entreprise française de consulting en stratégie SI, Octo propose une approche différente de celle de ses concurrents : sa solution de distribution intitulée « Appaloosa » est une plateforme web qui comprend toutes les fonctionnalités attendues ainsi qu’un module de device management (suivi de version de l’OS de l’appareil). Elle permet la distribution sur iOS, Android et Windows.

Article écrit par Guillaume Lanthier, chargé de web marketing chez Qualia Systèmes.
Qualia Systèmes est spécialisé dans le développement d’applications iPhone, iPad et Android et de solutions professionnelles pour les grands comptes.

Qualia recrute actuellement des ingénieurs en développement en CDI, ainsi que des stagiaires/apprentis !

Par Nabil Chaibi

Consoles Next Gen : les rumeurs du jour. Par Nabil Chaibi

Le site The Verge, toujours très prolixe en informations inédites, publie aujourd’hui que la Playstation 4 pourrait utiliser le cloud gaming
, tandis que la Xbox 720 bénéficierait d’un équivalent de Siri.
Sony profiterai en effet des services de Gaikai (service de cloud gaming)
racheté, l’année dernière, pour améliorer les fonctionnalités en ligne de sa console. Le partage d’informations et l’intégration des réseaux sociaux se verraient ainsi grandement améliorés.
De son côté, Microsoft intégrerait la reconnaissance vocale à sa prochaine console, et améliorerait ce service déjà présent sur la Xbox 360 via Kinect. Le site The Verge parle d’une application de dictée qui se rapprocherait de ce que propose le logiciel Dragon.
Le système vocal permettrait également de naviguer intégralement à la voix dans l’interface de la console, et d’y effectuer des recherches en posant une simple question.



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Par Nabil Chaibi

[Tutoriel] Jailbreaker son iPhone 5 sous iOS 6. Par Nabil Chaibi

Le logiciel Evasi0n permettant – enfin – le jailbreak unthethered (qui persiste après redémarrage) de l’iPhone 5 et iOS 6 est disponible depuis peu et a connu un succès fulgurant avec plus de 100 000 téléchargements en 10 minutes. Histoire de libérer l’iPhone du joug d’Apple et de ses lutins, nous vous proposons un guide rapide destiné à jailbreaker vos iDevices avec l’application Evasi0n.



Note préliminaires

Le Jailbreak fonctionne avec l’ensemble des appareils fonctionnant sous iOS 6 et devrait marcher également avec la màj 6.1.1. Le Jailbreak n’a rien d’illégal, mais Apple déconseille de procéder à l’opération. La Pomme pourra en revanche vous refuser la garantie sur l’appareil, on vous conseille donc procéder à une restauration au cas où vous voudriez la faire jouer.

En théorie tout devrait bien se passer, mais il est plus que vivement conseillé de faire une sauvegarde de son appareil avant le jailbreak. Via iCloud en passant par Réglages > iCloud >Stockage/Sauvegarde puis cocher « Sauvegarde iCloud ». Ou via iTunes : Brancher l’appareil, lancer iTunes et cliquer sur « Sauvegarder Maintenant » dans l’onglet correspondant à l’iPhone/iPad.



Ce tutoriel a été réalisé avec un iPhone 5 (iOS 6.1) et un ordinateur sous Mac OS 10.8.2, les intitulés peuvent ne pas être parfaitement identiques
.

Etape 1 : pré-requis

- Mettre à jour son iDevice avec iOS 6.1 si besoin. La version de l’OS est affichée dans : Réglages > Général > Informations > Version
- Avoir un ordinateur sous Mac OS 10.5 ou supérieur, Windows XP ou supérieur, Linux (n’importe quelles distributions x64 ou x86).



- Désactiver le verrouillage par code : Réglages > Général > Verrouillage par code > Désactiver le code (si besoin)
- Désactiver le Code PIN de la carte SIM : Général > Téléphone > PIN carte SIM > Décocher « Activer le code PIN »



- Télécharger et installer Evasi0n pour votre OS à cette adresse.

Etape 2 : Jailbreak

- Quitter iTunes (et/ou xCode sous Mac OS) et débrancher l’appareil.
- Lancer Evasi0n.
- Brancher l’iPhone ou son iPad. Evasi0n devrait alors afficher le nom du terminal.



- Cliquer sur « Jailbreak » et laisser tourner
- Après quelques minutes, l’application vous suggérera de lancer l’application « Jailbreak ». Celle-ci doit se trouver sur une de pages d’application. Lancez-le, mais veillez à n’appuyer qu’une seule fois. Laissez ensuite le processus se terminer.





- Si tout s’est bien passé l’application affichera « Jailbreak Complete » avec un bouton « Exit » pour quitter l’appli.
- Vous devriez maintenant posséder l’application Cydia sur votre terminal.
- Enjoy!

Par Nabil Chaibi

Un ChromeBook Pixel chez Google ? Par Nabil Chaibi

Hier soir, Victor Koch lui-même, CEO de Slinky.me, a annoncé que son site avait été la cible d’une attaque par des hackers qui auraient par la suite mis en ligne cette vidéo. Sur cette dernière, retirée à plusieurs reprises de YouTube, on aperçoit le ChromeBook Pixel, un concept qui pourrait être la prochaine génération de Chromebook de Google, qui à part ailleurs refusé de se prononcer sur cette fuite.

Le ChromeBook Pixel serait donc un ordinateur portable signé Google qui offrirait un écran tactile d’environ 13 pouces (12.85? exactement) avec une définition de 2560 x 1700 pixels. Évidemment pas plus de précisions pour l’instant, peut être que nous en saurons plus à l’occasion du Google I/O au mois de mai.

A suivre.



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Par Nabil Chaibi

Amazon : vers la vente de bien numériques d’occasion ? Par Nabil Chaibi

À l’heure des DLC à tout va et des des rumeurs persistantes à propos du blocage de l’occasion sur les prochaines consoles, Amazon est à contre courant. Le géant du e-commerce vient de se voir attribuer un brevet relatif à la « vente d’occasion pour les biens digitaux ».

Le texte mentionne notamment des applications, MP3, vidéos ou encore e-book. Chaque utilisateur se verrait attribuer une bibliothèque virtuelle dans laquelle serait stockés les médias. L’utilisateur pourrait alors mettre en vente ses objets qui seront transférés dans la bibliothèque de l’acheteur.

Reste à savoir si les divers « ayant-droits » accepteront de tels transferts, on les imagine assez frileux. Steam en a d’ailleurs fait les frais en Allemagne, puisque une association de consommateurs poursuit le logiciel de Gabe Newell sur le fait qu’il est impossible pour les consommateurs de revendre leurs jeux digitaux en occasion.

Amazon, pour sa part, n’a pour l’instant rien annoncé officiellement.

Source

Par Nabil Chaibi

Les robots ne tueront pas l’emploi. Par Nabil Chaibi

Fin Janvier avait lieu à Chicago la conférence « Automate 2013? où les professionnels discutaient robotique, automatisation et leurs implications pour le futur de l’industrie. Un débat qui arrive à point nommé après les craintes exposées que les robots ne détruisent de trop nombreux emplois.

En réalité, il semblerait que robots et automatisation stimuleraient le marché du travail, créant « directement et indirectement » entre 1,9 et 3,5 millions d’emplois à l’orée 2020, d’après la Fédération Internationale de Robotique (IFR). La production a depuis toujours créé de l’emploi et l’automatisation vient rendre la région bien plus compétitive. Un cercle vertueux en somme.

Cependant, la situation n’est pas la même partout. Les Etats-Unis, par exemple, sont à la traine quant à l’adoption des robots dans leurs lignes de production. L’Allemagne a ainsi un ratio hommes/machine deux fois supérieur à celui des Américains. Une véritable peur de l’automatisation, qui « n’apparaît ni en Europe, ni au Japon », d’après Andreas Bauer de l’IFR.

Autrement dit, il faudra se décider à sauter le pas pour de bon avant d’en voir de véritables bénéfices…

[theverge]

Par Nabil Chaibi

Le prix du M7 de HTC déjà dévoilé ? Par Nabil Chaibi

On s’attend à découvrir le M7, le prochain smartphone haut de gamme de HTC, le 21 février prochain. Mais voilà : entretenir le secret autour d’un mobile n’est pas évident, et le prix du M7 aurait déjà fuité.

Essayez de citer UN produit high-tech qui a dernièrement réussi à conserver tous ses secrets jusqu’à son officialisation. Pas facile, pour ne pas dire impossible ! Le M7 de HTC ne fait pas exception à la règle, et selon le site FrAndroid, le mobile serait lancé à partir du 8 mars 2013 chez The Phone House, au prix de 649,90€ dans sa version nue.

Il disposerait d’un écran 4.7? (1080p), d’Android Jelly Bean accompagné de la surcouche Sense 5.0, de 32 Go de mémoire interne, d’une compatibilité 4G/LTE, d’un capteur arrière de 13 megapixels, ou encore du NFC.

Autant dire qu’on l’attend de pied ferme.

Par Nabil Chaibi