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2/14/2013

Le LG Optimus G Pro officiel avec un écran incurvé ! Par Nabil Chaibi

Après sa nouvelle L-Series, LG vient d’officialiser son nouveau LG Optimus G Pro, une second version pour le reste du monde après celle dédiée au Japon, qui offrira un écran de 5,5 pouces Full HD (1920 x 1080 pixels) légèrement incurvé avec un effet « 2,5 D » !

Si le constructeur coréen ne dévoile pas l’intégralité des spécifications de ce nouveau terminal – il faudra bien annoncer quelque chose au MWC – on sait déjà via des récentes fuites que celui-ci sera notamment équipé d’un processeur quad-core Snapdragon S4 cadencé à 1,7Ghz avec 2Go de RAM, d’une capacité de 32Go, d’un port microSD, d’un capteur de 13Mpx, des Bluetooth 4.0, Wifi, NFC, Slim Port ainsi que d’une batterie de 3140 mAh, le tout sous Android 4.1.

G-Pro-21

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Test Aliens : Colonial Marines – Retour vers le futur. Par Nabil Chaibi

Nous sommes en 1986, le film Aliens le retour réalisé par James Cameron vient de sortir et la hype
sur la créature la plus terrifiante de l’espace est au plus haut. C’est alors qu’un petit studio de développement nommé Gearbox Software annonce son intention d’adapter la licence en jeu vidéo, déclaration qui restera sans suite durant des années.
En 2013, Randy Pitchford (le patron de Gearbox) découvre dans une cave du studio un disque poussiéreux sur lequel figure une mystérieuse inscription : ACM – Rejected. Lorsqu’il se décide à le glisser dans son PC, il ne se doute pas que le cauchemar ne fait que commencer…
Randy est d’abord surpris par les graphismes du jeu, clairement dépassés en 2013. Le constat est encore plus frappant lorsqu’on compare Aliens : Colonial Marines au récent Dead Space 3. Entre des effets de lumière franchement affreux, un aliasing
monstre (de l’espace) et des effets de brillance qui donne à la chitine des Aliens l’aspect des chaussures cirées, Randy sent ses yeux fatiguer au bout de quelques minutes.
Il continue pourtant l’aventure, tout à sa joie enfantine de retrouver le vaisseau USS Sulaco de son adolescence et sa bande de sympathiques Marines. Ces derniers se montrent d’ailleurs très fidèles au film et bénéficient d’un arsenal impressionnant : fusil d’assaut, à impulsion, à pompe, jusqu’au fameux smartgun
.
Là, le boss de Gearbox software constate avec amusement qu’ACM respecte les codes qui régissaient les premiers FPS : il peut porter toutes les armes du jeu simultanément, et leurs bruitages sont issus de l’œuvre originale.
This might be photoshopped

This might be photoshopped


La première rencontre avec les Aliens laisse tout de même Randy dubitatif : l’impression d’affronter des créatures arthritiques, au seul moyen d’un pistolet en mousse n’est pas des plus agréables. Qu’à cela ne tienne, il lui faut également affronter les mercenaires à la solde de la compagnie Weyland-Yutani. Randy parvient sans mal à contourner les barbouzes et les truffer de plomb. Le PDG de Gearbox ne peut s’empêcher de rire lorsqu’il voit une caisse de munitions s’échapper comme par magie d’un cadavre, et manque de s’étouffer quand il comprend qu’il lui faut pointer l’objet et appuyer sur la touche d’action pour s’en emparer.

Des couloirs, des couloirs et encore des couloirs...

Des couloirs, des couloirs et encore des couloirs…


Le cauchemar continue une fois son groupe de Marines arrivé sur une mystérieuse planète : les aller-retour fastidieux tout droit sortis d’une époque qu’il croyait révolue, le respawn
des armes au même endroit avant chaque vagues d’ennemis et les environnements plus cloisonnés que la cave où il est en train de jouer le poussent finalement à bout. Il se met à tirer dans tous les sens en hurlant de frustration jusqu’au moment où, une poignée d’heures plus tard, le mot FIN apparaît devant lui.
Une fois revenu au menu principal, Randy retire son casque et se met à pleurer : pourquoi Aliens : Colonial marines n’est-il pas sorti vingt ans plus tôt pour s’imposer alors comme un étalon du genre ? Comment ses prédécesseurs ont-ils pu abandonner jeu si prometteur ? À travers ses larmes, il discerne une inscription qui clignote faiblement sur son écran : mode multijoueur.

Comme indiqué ici, le multijoueur était le dernier espoir du jeu

Comme indiqué ici, le multijoueur était le dernier espoir du jeu


Qui dit mode multijoueur, dit durée de vie étendue. Randy passe des heures entre le classique match à mort en équipe, l’extermination où il incarne un marine chargé de détruire des œufs Aliens, l’évasion où il tente d’échapper à un groupe de xénomorphes affamés et la survie où la frénésie du frag
s’empare de lui encore et encore. Après avoir tenté en vain de s’en sortir dans la peau d’Aliens bien trop faible malgré le choix de classe dont ils disposent, Randy finit par se contenter de débloquer des armes supplémentaires pour ses Marines (condamnés à n’en choisir qu’une en multijoueur).
Alors qu’il élimine d’un coup de fusil à pompe un énième extra-terrestre, Randy sent un sourire inopiné éclairer son visage. Les fans ayant été déçus par Prometheus, il est peut-être possible de profiter de leur rancœur pour leur vendre cette production rétro. Qui sait, un partenariat avec la Fox pourrait même être envisageable…
On en rêvait, Gearbox ne l'a pas fait On en rêvait, Gearbox ne l’a pas fait


Tout comme Randy, nous n’attendions rien d’Aliens : Colonial Marines. Retrouvé au fond d’un carton après six ans d’un développement qu’on imagine laborieux, il ne se distingue que par la fidélité de ses bruitages et son respect du film de Cameron. Et encore. On n’avait en effet jamais vu d’Aliens aussi faiblards depuis Aliens versus Predator
, le film où ils sont transformés en articles de maroquinerie pour Predator en rut. C’est dire.

Les pompiers australiens blâment Apple Plans. Par Nabil Chaibi

Apple Maps n’en finit pas de faire parler. Alors qu’Apple cherche à améliorer son service, les affaires s’accumulent autour de son service cartographique sorti en septembre dernier. En Australie, la police avait déjà déconseillé l’utilisation d’Apple Maps et aujourd’hui, c’est les pompiers qui s’en prennent à l’application.

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Il faut savoir que pour signaler aux habitants la présence de feux de forêt, les pompiers de l’État de Victoria utilisent une application iOS. Cette application utilise le service de cartographie installée par défaut sur l’OS. Tout allait bien avec Google Maps, mais avec Apple Maps, c’est un autre problème.
Les pompiers estiment en effet que Maps désinforme les utilisateurs. Beaucoup de villes et de lieux sont placés aux mauvais endroits. Conséquence, l’application indique aux utilisateurs les mauvais lieux pour les feux de forêt. De même, les utilisateurs peuvent signaler des feux aux soldats du feu. Mais la localisation approximative des villes fausse les données et les pompiers sont donc envoyés à des kilomètres du lieu de l’intervention.

Les pompiers ont contacté Apple, qui n’a pas répondu à leurs demandes, se contentant de les renvoyer vers les déclarations officielles de Tim Cook.

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Désimlockage : la FFT veut des utilisateurs mieux informés. Par Nabil Chaibi

La Fédération Française des Télécoms (FFT) estime que les utilisateurs ne sont pas assez informés sur le désimlockage. D’après elle, certains d’entre eux ne savent même pas que les terminaux peuvent s’affranchir de leur opérateur d’origine. Elle souhaite donc prendre trois nouvelles mesures pour pallier à ce manque.

Dans les trois mois à venir elle mettra donc en place :


Une formulation unique et commune à tous les opérateurs membres de la FFTélécoms pour informer du mécanisme de verrouillage (présente sur le catalogue des offres, la boutique en ligne des opérateurs et les points de vente).

Une information accompagnant les coffrets des nouveaux terminaux

Une information sur l’existence du verrouillage, présente sur les « espaces clients » des sites internet des opérateurs membres de la Fédération ainsi qu’un lien renvoyant vers les modalités de déverrouillage.

On ne sait pas si Free Mobile suivra la même démarche puisqu’il n’est pas membre de la fédération, l’opérateur propose en revanche un Tutoriel sur son site afin de mener à bien la démarche de désimlockage.

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HTC lance son compte à rebours pour le 19 février. Par Nabil Chaibi

Le 19 février prochain, HTC tiendra sa conférence de lancement pour son nouveau smartphone : le M7. Un évènement important pour la firme, qui compte révolutionner le monde de la photographie avec son nouveau flagship en plus de sa gamme.

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HTC veut donc marquer le coup et fait un teasing intensif pour attirer l’attention. Dernière opération en date, l’ajout d’un compte à rebours sur le site du constructeur. Pour l’instant, il reste 6 jours et quelques heures avant la présentation, si l’on en croit le countdown.

Petit détail amusant, on peut apercevoir brièvement le smartphone lorsque les secondes arrivent à 1. De quoi confirmer le fait que le smartphone se nomme réellement One et non M7.

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Fitbit améliore le support Android pour ses bracelets santé. Par Nabil Chaibi

Opportuniste, Fitbit prend la balle au bond : puisque Nike a décidé de ne pas développer d’application Android pour son bracelet FuelBand, le fabricant pousse son avantage auprès des utilisateurs déçus. Fitbit a en effet annoncé le support de la synchronisation Bluetooth 4.0 pour ses périphériques Fitbit One et Fitbit Zip.

Fitbit

Cette fonction, intégrée dans l’application Android depuis peu, permet de transférer les données tirées de son dernier entraînement vers un smartphone compatible – actuellement, cela se limite aux Galaxy SIII et Galaxy Note II de Samsung, mais le constructeur promet un plus large support dans un proche avenir. La compatibilité NFC a également été ajoutée à l’app Android, ce qui permettra d’utiliser au mieux le futur Fitbit Flex (sortie programmée au printemps).

Fitbit joue sur du velours, avec cette annonce qui intervient 24 heures après le renoncement de Nike. Les périphériques du fabricant sont toutefois assez différents du FuelBand : ils permettent de surveiller son activité physique, mais également son poids, son sommeil et ses repas.

Une des lunes de Pluton pourrait s’appeler Vulcain. Par Nabil Chaibi

Il y a deux jours, nous vous parlions de l’opération de l’organisation SETI qui cherche à trouver des noms pour les deux lunes de Pluton. Via le site PlutoRocks, les internautes peuvent choisir comment appeler les deux lunes de Pluton qui ne sont pas encore baptisées. Alors que les noms Persephone, Cerberus ou Styx sont dans la liste, une nouvelle suggestion vient se greffer au vote : Vulcain.

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C’est William Shatner (le VRAI capitaine Kirk) qui a proposé ce nom à SETI. Tout de suite, la connexion se fait. Vulcain est en effet la planète des Vulcains (logique) dans l’univers des Star Trek et son représentant le plus connu sur Terre est bien évidemment Spock. Un nom qui fera plaisir aux Trekkies, ces derniers allant pour sûr se ruer en masse pour voter.

Mais le nom Vulcain n’a pas été choisi au hasard par Shatner. Car si la planète est importante dans l’univers de Star Trek, Vulcain est aussi le Dieu romain du feu et de la forge. Un nom qui a toute sa place dans la liste donc. On est sûr maintenant que ce cher Vulcain va gagner à plate couture ce vote en ligne, sauf si les fans de Mass Effect se mobilisent pour voter Cerberus…

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