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2/05/2013

Astuce : Re-démarrer sous Windows 8 ? Par Nabil Chaibi

Cela fait déjà trois mois que la majorité des PC sont commercialisés avec Windows 8. Qu’on ait opté pour un écran tactile ou non, la première expérience est généralement déroutante notamment en raison de la disparition du menu « démarrer ». Il existe néanmoins une solution…
« If you start me up / If you start me up I’ll never stop » .. C’est en chantonnant la célèbre chanson des Rolling Stones que Bill Gates avait officiellement dévoilé Windows 95, un système d’exploitation qui tranchait avec ses prédécesseurs en introduisant notamment le célèbre bouton « démarrer ».
Mais bousculé par Apple ou Android, Microsoft a fait un choix radical en supprimant ce bouton de la dernière mouture de son système d’exploitation Windows 8. Et beaucoup d’utilisateurs manifestent une certaine nostalgie. Est – il possible de faire revenir ce vieux bouton sur son nouveau PC ?
La réponse est « oui » et nos confrères d’ITespresso proposent en téléchargement le « Windows 8 start menu« . Concrètement, cet utilitaire modifie une entrée du registre de Windows, ce qui a pour action de changer l’interface de Metro, mais aussi l’administrateur de tâches et l’explorateur de fichiers. (télécharger le fichier). L’utilisation est très facile et il suffit de choisir « Use Metro start screen » ou « Use Classic start menu » pour modifier immédiatement l’interface de démarrage pour renouer avec la bonne vielle interface Windows.
Encore plus simple : le bouton Start8. Il donne accès aux applications, à la fonction recherche, au menu contextuel et permet de fermer la session ou de la redémarrer. Il permet même de modifier l’aspect vers Windows 7 ou une version antérieure.
C’était quoi déjà la chanson de Retour vers le futur ?
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Le programme Phoenix se dévoile. Par Nabil Chaibi



Dans sa grande quête de nettoyer l’espace de tous les débris qui l’encombrent, la DARPA, l’agence pour les projets de recherche avancée de défense américaine, avance, certes lentement tant la tâche est immense, mais sûrement. Aujourd’hui, une vidéo en dévoile davantage sur deux aspects-clef de son programme Phoenix.

L’un des principaux défis à relever consiste à trouver une méthode fiable pour assembler les antennes et autres pièces collectées sur les différentes « épaves », dans l’espace. Pour le moment, deux approches différentes d’adhésions non mécaniques sont à l’étude. Les travaux avancent aussi à bonne vitesse en ce qui concerne le mécanisme de préhension.

Le logiciel de contrôle tactile qui servira aux responsables au sol progresse lui aussi. Cette initiative à 180 millions de dollars n’en est pourtant qu’à ses tous débuts. Les laboratoires de recherche continueront de travailler sur le programme Phoenix, année après année, pour permettre un jour à la DARPA de débarrasser l’espace de ses objets flottants et d’en assembler de nouveaux parfaitement fonctionnels.

Par Nabil Chaibi

Télécoms : rapprochement entre Numéricâble et SFR. Par Nabil Chaibi

Numéricâble fait savoir à SFR qu'un rapprochement serait logique et bénéfique à l'heure du développement de la fibre optique et du chamboulement du marché de la téléphonie mobile.

Dans le cadre d’une entrevue accordée au quotidien Le Figaro qui a été publiée samedi dernier, le président du câblo-opérateur Numéricâble Éric Denoyer voit comme bénéfique et logique un rapprochement entre son groupe et SFR, idée qui avait déjà été avancée l'an dernier.

Selon l’homme, qui parle de logique industrielle, il y a en effet " un sens à rapprocher Numéricâble, qui est le leader du très haut débit fixe, et SFR, qui est essentiellement une base d'abonnés mobiles et est le plus avancé sur le très haut débit mobile 4G "
.
Toujours d’après lui, un tel rapprochement permettrait de rationaliser les investissements et de créer de la valeur sur un marché des télécoms fortement secoué par l’arrivée de Free Mobile.

  

Mais, comme le soulignent nos confrères, " SFR vaut bien plus cher que Numéricâble "
, d’où " un montage compliqué ".
Sans compter que le PDG de SFR Stéphane Roussel a balayé d’un revers de la main l’idée de vente ou même de fusion, lors d’un entretien accord au quotidien Le Parisien.

Sauf que d’un autre côté, des déclarations de Jean-François Dubos, président du directoire de Vivendi, maison-mère de SFR, ont indiqué que le développement de Vivendi passerait par les médias. Des violons qui méritent d’être accordés donc.

On en saura sans doute davantage sur la stratégie de Vivendi et l’avenir de sa filiale SFR à l’occasion de la prochaine assemblée générale de Vivendi qui est prévue le 30 avril prochain.

Par Nabil Chaibi

Mojang : 237 millions de dollars en 2012. Par Nabil Chaibi

C'est une véritable success-story qui vit actuellement Mojang, l'éditeur du jeu Minecraft. L’année 2012 aura été celle de la consécration pour le titre, mais également celle de la fortune pour son auteur qui annonce 237,84 millions de dollars de chiffre d'affaires.

Ainsi en 2012, le chiffre d'affaires de Mojang a été rapporté un peu moins de 240 millions de dollars, parmi lesquels 100 millions proviennent uniquement des clefs de licence vendues pour minecraft.

Des chiffres impressionnants pour un titre parti de presque rien et qui n'avait, à la base, pas réellement l'ambition de faire la fortune de son développeur. Proposant un concept simple, mais efficace, le titre aura largement séduit le public par son orientation à la fois vers les joueurs occasionnels comme vers les plus accrocs.

Étrangement, le titre aura permis de mettre en avant certains marchés insoupçonnés pour le jeu vidéo, puisque le Brésil représente le troisième pays dans lequel Miniecraft se vend le mieux. Une situation paradoxale puisque le pays n'est pas forcément le plus favorable à la monétisation en ligne du fait d'un système bancaire peu axé sur les cartes de crédit.



D'après l'éditeur, malgré des chiffres extraordinaires, le système de commercialisation du jeu, actuellement uniquement proposé en ligne est un handicap, beaucoup de joueurs potentiels n'ayant pas accès à PayPal ou aux transactions en ligne avec leur banque. Un point qui devra faire l'objet d'une étude sérieuse dans le courant de l'année.

Mais finalement c'est peut-être aussi le slogan martelé sur la page d'accueil du titre qui aura également séduit les joueurs " Si vous ne pouvez pas acheter Minecraft, hackez-le ! "


Faire planter un Mac en tapant 8 caractères, c’est possible. Par Nabil Chaibi



Ajoutez une série de caractères au sein de n’importe quelle application sur votre Mac, et vous réussirez à le planter en moins de deux. Envie d’essayer chez vous ?

Non, il n’est pas compliqué de faire planter un Mac. C’est d’ailleurs relativement simple de faire tourner les bécanes d’Apple en bourrique en tapant “File:///” (supprimez les guillemets, et n’oubliez pas le f majuscule) au sein de n’importe quelle application, ou presque. Plus gênant que dangereux, ce bug n’est uniquement présent que dans OS X Mountain Lion, et vous ne pourrez pas le reproduire dans Lion ou dans Snow Leopard, pour ne reprendre que ces 2 exemples.

Rattaché aux « Data Detectors » (qui permet aux applications de reconnaître les dates, les lieux et les informations de contact), ce bug est finalement assez amusant, et apporte la preuve qu’un Mac est loin d’être exempt de bugs. Et en même temps, il aurait été injuste que seuls les utilisateurs de PC voient leurs bécanes planter !

Par Nabil Chaibi

Le futur des applications mobiles pro : hybride, avec un mélange natif et HTML5. Par Nabil Chaibi



Des applications natives ou des web apps, qui l'emportera ? Pour Gartner, ce sont les applications mobiles hybrides, avec un peu des deux, qui auront la préférence des entreprises pour répondre aux problématiques du BYOD et de la diversité des plates-formes.

Les applications mobiles natives ont refait une entrée en force avec l'écosystème mis en place par Apple pour iOS suivi par Google pour Android ainsi que les autres plates-formes mobiles. Pour autant, les Web apps peuvent aussi séduire en étant capables de fonctionner dans les navigateurs mobiles, indépendamment de la plate-forme, au moins dans certains cas de figure.

Entre ces deux types d'applications, le cabinet d'études Gartner ne tranche pas dans le débat les opposant régulièrement mais veut au contraire les voir se rapprocher à moyen terme dans un format d'application mobile hybride qui répondra aux attentes des entreprises.

Ces dernières doivent en effet composer avec la tendance du BYOD ( Bring Your Own Device
) qui impose des contraintes de gestion de multiples plates-formes mobiles, de cloisonnement des données personnelles et professionnelles ou de problèmes de sécurisation d'accès aux données de l'entreprise.


Dans le même temps, elles profitent de la plus grande flexibilité permise par ces nouveaux moyens de communication et des applications mobiles qui permettent d'assurer une productivité qui n'est plus forcément centrée à un lieu de travail précisément défini.

Dans ce contexte, il devient compliqué de développer des applications natives pour chaque plate-forme. Gartner suggère donc une évolution vers un développement hybride, avec une base native permettant de tirer parti facilement des fonctionnalités spécifiques des terminaux mais un fonctionnement général qui pourrait exploiter le HMTL5 et reproductible ou facilement adaptable en fonction des plates-formes.


Apple choix naturel des entreprises à partir de 2014
Les grandes orientations sur les prochaines années devraient donc vers le développement d'applications capables de prendre en compte les dimensions personnelles et professionnelles et vers des stratégies cross-platform
.
Gartner suggère également que d'ici 2014, les produits Apple pourraient obtenir en entreprise un statut comparable celui que possède actuellement Microsoft, qu'il s'agisse des iPhone et iPad ou des ordinateurs Mac, là encore grâce à une diffusion de certaines des spécificités iOS dans Mac OS.

Même si Windows 8 et Windows Phone 8 devraient se diffuser en entreprise, l'adaptation des usages personnels/professionnels n'y est pas aussi étendue et pourrait être un frein par rapport à ce que peut proposer Apple.

Enfin, le cabinet d'études note que l'arrivée de smartphones à 50 dollars dès 2013, notamment grâce aux fabricants chinois, va imposer d'importantes transformations dans le secteur, obligeant les grands fabricants à adapter leurs gammes pour conserver leur différenciation en entrée de gamme et/ou à se focaliser sur le haut de gamme, avec des conséquences sur leur pénétration du marché professionnel.


Google : Chrome OS installé dans plus de 2000 écoles. Par Nabil Chaibi



Google continue de croire à Chrome OS et en ses Chromebooks. Et si le marché des particuliers n'est pas aussi réceptif que prévu, la firme réussit néanmoins à séduire l'éducation.

C'est ainsi que Google déclare avoir réussi à installer des Chromebooks dans plus de 2000 écoles à travers le monde à ce jour. Un chiffre qui ne pèse à priori pas lourd, mais qui se révèle être le double de celui annoncé il y a trois mois, laissant donc supposer d'une progression fulgurante.

Actuellement, le projet lancé par Google équipe une grande partie d'écoles situées aux États-Unis, les derniers déploiements faisant état de 900 dispositifs dans les zones rurales de Caroline du Nord, ou encore de 2200 Chromebooks distribués dans les écoles d'études supérieures en Floride.

Un déploiement faiblard , mais Google croit dur comme fer à son projet et à son OS. Car si le but annoncé est principalement charitable, il motive surtout les fabricants à proposer leur propre Chromebook. Ainsi, Lenovo vient d'opter pour l'OS de Google et vient tout juste de sortir son premier Chromebook.



Relancer l'intérêt de son OS en passant par l'éducation, un choix qui pourrait porter ses fruits d'après Google puisque le fabricant Acer vient d'annoncer que son C7 proposé à 199$ venait de dépasser 10% de ses exportations vers le marché US. La progression est lente et complexe pour Google sur le terrain des OS, et l'alchimie qui a parfaitement fonctionné avec Android n'est pas forcément au rendez-vous sur PC. Une situation paradoxale puisque Chrome OS semble largement verrouillé dans ses fonctionnalités et son usage tandis qu'Android se veut totalement ( ou presque ) ouvert.